01 - Syndrôme de l'imposture : le combattre grâce au branding !

Podcast

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Date
4/3/2022
Durée
26mn 24sec

Intro

Salut & Bienvenue dans Libère Ton Moxie, le podcast créatif où on s’efforce de dégommer le syndrôme de l’imposture, un épisode à la fois.

Je suis Amélie, stratégiste & designer de marque accro au café, aux bretzels et aux longues conversations autours d’une bière.
Depuis plus d’un an, j’accompagne les entrepreneureuses à construire une marque qui leur ressemble, et à se développer un business rentable, et kiffant.
Si il y a bien une expression dont j’ai horreur, c’est : “ma petite entreprise”. Non, tu n’as pas une petite entreprise. Tu es à la tête d’un vrai business, et tu as le doit de rêver en grand, même si tu es seul à gérer ton entreprise.
Alors si toi aussi tu as envie de vivre de tes passions et de te construire un business kiffant, rentable, et qui fasse le bien autours de toi, bienvenue !
Let’s go libérer nos moxie, ensemble !

Syndrôme de l'imposture : et si on démystifiait un peu ?

Aujourd’hui, on va parler DU sujet le plus fâcheux de toute la planète freelance, enfin quoique, je pense que le chiffre d’affaire et comment trouver des contrats arrivent en tête (rire), mais quand même, il est clairement sur le podium : j’ai nommé : le grand méchant syndrôme de l’imposture !

Alors oui, ici on dit “de l’imposture” et non de l’imposteur, parce que l’écriture et la grammaire inclusive ça passe aussi par s’habituer à employer des nom collectifs qui ne désigne pas le genre. Et puis hein, étant donné que grâce au patriarcat, on est quand même plus de femmes et de personnes non-binaires à en souffrir, autant se le ré-approprier pour mieux le dégommer non ?! (rire)

Donc ! Ce fameux syndrôme. De quoi on parle exactement ? Je pense qu’on a tous et toutes une idée globale de ce à quoi ça renvoie, mais je me suis amusée à faire quelques petites recherches pour comparer les points de vue !

Chez Wikipédia, on nous parle de ”(…)syndrome de l'imposteur, appelé aussi syndrome de l'autodidacte, phénomène de l'imposteur, expérience de l'imposture, expriment une forme de doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel. Ces personnes rejettent donc plus ou moins systématiquement le mérite lié à leur travail et attribuent le succès de leurs entreprises à des éléments qui leur sont extérieurs (la chance, leurs relations, des circonstances particulières). Elles se perçoivent souvent comme des dupeurs ou dupeuses né-es qui abusent leurs collègues, leurs ami-es, leurs supérieurs et s'attendent à être démasquées d'un jour à l'autre.

C’est apparement la psychologue Pauline Rose Clance qui a été la première à étudier ce sentiment d'insécurité injustifié. Dans son travail de thérapeute, elle a remarqué que beaucoup de ses patients et patientes non diplômés partageaient une même préoccupation : bien qu'ils aient de bonnes notes, ils ne croyaient pas qu'ils méritaient leur place à l'université.

Du coup, avec sa collègue, la psychologue Suzanne A. Imes, elles étudient ce qu’elles appelleront ensuite “le syndrome de l’imposture” en 1978, chez 150 personnes qui s’identifient comme femmes. Ben oui hein, ça aurait probablement moins concluant si elles avaient sélectionner des hommes cis, LOL.

Toutes les personnes participantes avaient été officiellement reconnues pour leur excellence professionnelle par leurs collègues et avaient affiché des résultats scolaires grâce à des diplômes obtenus et à des scores aux tests standardisés (donc sûrement les tests de QI et ou de personnalité etc.).

Mais malgré les preuves constantes de validation externe, ces personnes n'avaient pas la reconnaissance interne de leurs réalisations. Les participantes ont expliqué que leur succès était le fruit de la chance et que d'autres surestimaient simplement leur intelligence et leurs capacités.

Pendant cette études, Clance et Imes ont également remarqué qu’il y a 4 types de comportements récurrents et inhérent au syndrôme de l’imposture.

Le premier, c’est que les personnes qui en souffrent ont tendance à travailler deux fois plus, comme si elles essayaient inconsciemment de combler en fait le “faux retard” de capacités. Comme elles pensent que le travail vaut moins, elles redoublent d’effort pour y palier. Du coup ça engendre un cercle vicieux : on travail deux fois plus, on se fatigue davantage, la surchage mentale arrive et du coup, le cerveau n’a genre jamais assez de place pour décanter et apprendre à fonctionner autrement.

D’ailleurs, j’ouvre une mini parenthèse sur ce sujet : la charge mentale et le manque de temps. Je ne sais pas pour toi, mais personnellement, le freelancing m’a permis de pouvoir enfin travailler à mon rythme, mais surtout d’avoir le temps de trouver comment je fonctionne, d’explorer et de prendre le temps de construire ma confiance en moi. Je me souviens que quand j’étais salariée, tout allait deux fois plus vite alors que je travaillais sûrement deux fois moins d’heures pas semaines. Mais c’était réveil, vélo, boulot, apéro, sport pour relâcher le cerveau..et dodo quoi.Et je répétais ça 5 à 6 jours par semaine. Bon, l’apéro pas tous les jours non plus hein mais ouais, c’était un peu aliénant en fait, et ça laissait peu de temps à l’exploration. Bref, les affres du salariat…on va garder ça pour un autre épisode ! (rire)

Revenons à nos deux doctoresses Clance et Imes. Donc en plus de la tendance à travailler deux fois plus, les 3 autres comportements “types” qu’elles ont identifiés sont :

  • Un sens de l’observation très aiguisé et une tendance à vouloir faire plaisir aux autres
  • Le fait de porter un masque et de ne jamais oser dire ce que l’on pense pour ne pas vexer les gens et être rejeté
  • Un sens de la modestie hyper accrue. Genre, incapacité à recevoir des compliments etc.

Bon, je sais pas toi hein…mais en lisant tout ça, je me suis clairement revue il y a même pas 2 an quoi. (rire)Alors clairement, se débarasser de ce syndrôme je pense que c’est un cheminement. Il y a une multitudes de façons d’y arriver, que ce soit dans nos activités professionnelles que dans nos vies perso. Mais si il y a bien une chose qui me saute aux yeux en ce moment : c’est que je n’ai jamais eu autant confiance en moi que depuis que je suis entrepreneuse. C’est encore loin d’être acquis, mais disons que maintenant j’ai assez confiance en moi pour reconnaître mes qualités, pas juste mes défauts. Si on me fait un compliment, je le prend avec gratitude, et pas en mode “nan mais c’est pas grand chose..on m’a aidé et puis n’importe qui aurait pu le faire aussi bien”.

Ahah, ouais si tu te reconnais là, je t’envoie plein d’amour ! Promis, ça s’apprend de dépasser tout ça. Et le branding est selon moi une des manière les plus efficace pour le dégommer, ce foutu syndrôme.

En fait, je dis souvent : “thérapie par l’entrepreneuriat”. D’ailleurs je pense que si un jour j’écris un livre ça sera probablement le titre. (rire). Attention hein ! Si quelqu’un me pique ce titre on va pas être pote. (rire)

Mais sérieusement, j’ai jamais autant travaillé sur moi et évolué en terme de développement personnel que depuis que je suis à mon compte. Il y a tellement de choses à dépasser,  à apprendre, tellement de petits problèmes à régler etc. Sans compter l’administratif ! Je vais pas vous déballer ma vie là tout de suite hein, on est qu’au premier épisode (rire), mais je me suis tellement mise dans la merde quand j’étais plus jeune parce que j’avais une phobie administrative de ouf. Si la Amé de 22 ans me voyait aujourd’hui faire ma compta et kiffer faire mes petits tableaux excel là…je pense que clairement elle se dirait : “putain c’est quoi la formule magique pour arriver à ça plus vite”. Ben voilà, si je m’étais lancée plus tôt en freelance, j’aurais pas flippé toutes ses années à ouvrir mes factures.

Mais bref ! C’est juste qu’en fait en entrepreneuriat, t’es obligé-e de sortir constamment de ta zone de confort, de te mettre à la compta, aux réseaux sociaux, à apprendre comment fonctionne tel ou tel outils etc. Et au final, ben ça entraîne ton cerveau à se dire “Ok wow, je flippais à mort de faire cet appel en visio avec ma cliente, mais je l’ai fait, je suis fier-ère, et la Terre s’est pas écroulée.”

Franchement, si on enlève l’anxiété générée par la peur de manquer d’argent, être freelance c’est un des meilleurs remède à l’anxiété je pense. Plus tu fais la chose qui te génère de l’anxiété, moins ça fera peur et plus tu auras confiance en toi en voyant que t’es capable de vaincre ça.Sérieux moi j’étais la meuf flippée d’aller prendre le train seule quand j’avais 16 ans ! Peut-être parce que j’ai grandi dans un village de campagne à une rue où il y avait plus de vaches que d’habitants hein, ça aide pas pour le côté social et bain de foule (rire) mais bon !

Mais à 20 ans je suis partie à Paris et ça m’a complètement guérie de presque toute mon anxiété sociale. Genre je suis partie tellement de fois voyager seule sur un coup de tête avec mon sac à dos…même sans savoir où j’allais dormir la veille quoi. Donc vraiment, c’est en grande partie de l’entraînement à faire les choses qui sont peur. Et l’entrepreneuriat ben, ça se résume un peu à ça !

Je ne sais plus qui disait ça sur Instagram la semaine passée, je crois que c’était Antoine Gérard qui citait Florine Legros, mais jsuis plus sûre, mes excuses à cette personne si jamais je me trompe. Mais en gros la personne résumait l’entrepreneuriat à : “tu te prends des sacs de merde, mais tu continues parce que tu kiffe les dégommer” ou quelque chose comme ça.Bon, c’est un peu pessimiste comme vision hein mais c’est pas si loin de la réalité ! On passe notre temps à régler des problèmes, à avoir peur mais à y aller quand même…

Ouais bon, pour un podcast sur le freelancing clairement je vous vend pas du rêve là (rire).

Mais vous inquiétez pas, j’arrive à la partie cool ! Et accessoirement au sujet évoqué dans le tire, oui j’aime bien digressions à rallonge comme ça…ahah, donc ! En plus de l’entrepreneuriat dans son ensemble, selon moi il y a surtout un aspect qui aide VRAIMENT à dégommer le syndrôme de l’imposture : et c’est le branding, et le personal branding. Je différencie les deux, parce que ce sont deux domaines différents, mais surtout parce que les bénéfices qu’on retire les travailler sont différents aussi selon moi.

Comment le branding peut-il aider ? 

Pour le branding, il s’agit surtout de travailler la stratégie et l’image de ta marque. Et OUI, même si tu es à ton compte et que tu utilises ton nom et ton prénom, et que tu ne fais pas 10k de chiffre d’affaire par mois : tu as quand même une “marque”. J’entends souvent des gens faire la distinction entre “les vraies marque” et nous autres auto-entrepreneureuses. Alors oui, je comprends totalement d’où ça vient et ce qu’on entend pas là…Mais je trouve que ça entretient le fait que dans l’inconscient collectif, les auto-entrepreneurs et les freelances jouent “petit”. Genre, “ah t’es freelance, ouais ok et ça va tu galère pas trop ?”Combien de fois j’ai entendu ça à des soirées…

Alors oui, mille fois oui et malheureusement oui (rires) on passe souvent par la case où on galère. Mais il y a aussi plein plein de freelances et d’auto-entrepreneureuses qui gagnent bien leur vie et souvent bien mieux qu’en salariat.

Donc vraiment, j’ai envie qu’on apprendre ensemble à arrêter de jouer petit, de se voir petit-es. Donc NON, tu n’as pas une “petite” entreprise. Tu as un business, tu as ta marque ou ta marque personnelle si tu utilises ton nom, et travailler son branding, ça va te permettre de gagner en confiance et en assurance.

Ouiii ça y est on y arrive, la meuf est partie dans dix mille digressions mais ça y est, on y arrive ! (rires)

En fait, ça tient en deux mots : positionnement, et image. Pour travailler ton branding, tu vas nécessairement devoir te poser ces questions :

  • Qui je suis, et qui est mon entreprise ?
  • Qui je veux aider ? À qui je veux parler ?
  • Comment je veux les aider ? Quelles émotions je veux véhiculer ?

Et bien sûr après : comment développer une image de marque et un personal branding qui me permettre d’arriver à le faire ?

La meilleure façon de répondre à ces questions, c’est un gardant au centre de tout qui tu es TOI.

D’ailleurs c’est pour ça que je fais toujours passer des tests de personnalité à mes client-es quand on travaille leur stratégie. C’est pas juste parce que j’adore voir les résultats hein, c’est aussi et surtout parce que ça révèle les traits de personnalité forts. Ceux sur lesquels on va baser le branding, pour qu’il soit vraiment aligné sur qui iels sont en fait.

Et c’est ça la clé : travailler qui tu es, te connaître à fond, pour ensuite axer les valeurs et l’image de ton entreprise dessus.Si on se rappelle des comportements types liés au syndrôme de l’imposture, il y avait entre autre le fait de vivre en portant un masque, en n’osant pas vraiment être qui on est parce qu’on pense que c’est pas suffisant, pas assez pour réussir.

Quel meilleur moyen de vaincre ça que de passer des semaines à analyser qui on est vraiment au fond du fond, et en créant tout un image de marque basée sur ça par la suite ?! C’est genre le meilleur remède du monde sérieux ! (rires)

Faut se rappeler aussi que le cerveau est un muscle. Et que pour vaincre le syndrôme de l’imposture, il faut l’entraîner, le muscler, à penser autrement.En plus nous les créatifs et créatives, on est deux fois plus mal barrées à la base, parce que notre travail est directement issu de notre identité (rires). Genre, si tu vends des téléphones et qu’on critique le téléphone..bon ben à un moment, c’est l’objet qui prend hein. Mais si tu peints une toile de fou, qui t’a pris 12h et dans laquelle tu as mis toutes les émotions de ton dernier voyage au Pérou bon ben là clairement, si on te dit “ouais nan c’est moche”..ça pique un peu plus jcrois ! (rires)

C’est aussi pour ça que c’est, je crois, un chouilla plus difficile de se lâcher la grappe niveau confiance en soi quand on à un métier créatif. Faut arriver à se détacher du regard des autres, et du regard qu’on porte soi-même sur nos créations, qui du coup deviennent aussi nos produits.

Bon clairement ça c’est sujet qui pourrait être un épisode à lui tout seul donc je vais pas partir dans cette parenthèse là, sinon on est parti-es pour 4h d’épisode.

Mais donc, le branding. Passer du temps à analyser qui tu es, ce que tu veux vraiment, et à trouver comment le transmettre dans ton image de marque, c’est une des plus belles façons de tranquillement habituer ton cerveau à apprécier être un peu..mis-e en lumière en fait.

Petit à petit, on s’habitue à mettre nos forces en valeurs, à ce que les gens nous fassent des compliments et à apprendre à les accepter. Et le cerveau ben ce qu’il entend lui c’est : “ah oui, j’y arrive, ah oui, je suis capable”. C’est genre statistiquement impossible que 10 personnes me fassent le même compliment sur un créations et qu’elles soient toutes en train de mentir..(rire).

Travailler ton branding, c’est aussi exprimer et affirmer tes valeurs, et être reconnu-e pour ces valeurs par ton audience. Imaginons par exemple que toute ton enfance on t’ait dit “tu es trop timide, tu es trop bavard ou bavarde”..moi perso on me disait toujours sur mes bulletins “de très bonnes capacités mais trop rêveuse, toujours dans la lune”. Mais à quel moment le fait d’être rêveuse vient invalider ton intelligence en fait ?! Juste..non quoi, ça ce sont les affres de l’éducation publique moderne mais bon, ça aussi on va le garder pour un autre épisode ! (rires)

Revenons à notre branding. Toute enfance, on t’as remontré un trait de caractère donné. Genre clairement, en vouant te dire que tu pourrais être une meilleure personne si tu n’avais pas ce trait de caractère. Bon, mais si ce trait de caractère, exemple l’introversion, le fait d’être dans la lune et créative etc., c’est quelque chose de très fort en toi et que tu décides de baser ton branding dessus. (disclaimer : tu devrais toujours baser ton branding sur tes traits de caractères forts)

Et bien il y a fort à parier que l’authenticité qui se dégage de ton image de marque se ressente fortement, et attire un audience qui s’identifiera à elle. Du coup, on passe de l’école où on te disais “change absolument sinon tu ne vas rien accomplir” à “wow je me retrouve trop dans ce que tu dis, merci d’avoir partagé ça etc.”

Ce pour quoi on t’as tellement souvent critiqué-e, devient exactement ce pourquoi on t’apprécie et apprécie consommer ton contenu et tes services. Et de nouveau, notre petit cerveau se muscle à voir ces traits de caractères à travers un prisme positif et valorisant.

Donc ! Si on résume, pourquoi travailler à fond ton branding peut t’aider à vaincre le syndrôme de l’imposture :

  1. Tu es obligé-e de faire un travail d’introspection pour apprendre à te connaître, à analyser tes blessures, tes points forts bref, qui tu es vraiment. Parce que c’est la seule vraie façon de “réussir” entre gros guillemets en business. Du coup, tu apprends à laisser tomber le masque “social” et à t’accepter à mesure que les autres t’acceptent aussi.
  2. En basant ton image de marque sur tes valeurs et ta personnalité, elles deviennent des atouts très forts, là où avant, elles ont pu être assimilées à des défauts. Du coup, ton cerveau apprendre petit à petit à les aimer et à les respecter, et hop, gros boost de confiance en soi !
  3. Et enfin, à mesure que tu partages ton travail et que les gens te fassent des compliments dessus (parce que oui, les “haters” ça existent..et si tu as le malheur d’avoir des valeurs militantes anti-patriarcales, y a des chances pour que tu te prennes plus de seaux de merde que les autres, on va pas s’mentir (rires)..Mais globalement, la sphère entrepreneuriale sur Instagram par exemple est très largement bienveillante. En fait, c’est soit c’est bienveillant et les gens kiffent ce que tu fais, soit iels n’aiment pas et passent leur chemin.Il y a de très fortes chances pour que tu sois souvent complimenté-e si tu fais les choses avec authenticité, et du coup, le cerveau s’habitue aussi à recevoir des compliment.

Donc en gros : travailler son branding = thérapie personnelle gratos (enfin pas gratos si t’engages quelqu’un pour le faire mais on s’comprend..)Perso, quand je me suis lancée en freelance, je n’avais aucune stratégie. J’étais graphiste et designer ui-ux pour personne et tout le monde à la fois, je n’avais défini aucune image de marque etc. Bref, c’était un peu très très banal.Et quand je me suis formée à la stratégie de marque et que j’ai compris son pouvoir, je l’ai appliqué ma propre marque. Et plus je partageais des choses de façon authentique, plus je parlais de mes valeurs etc. plus j’avais de retours positifs et d’engagement sur les réseaux.Le résultat, en plus d’un gros boost de confiance et de chiffre d’affaire (rires), c’est que c’est devenu un plaisir de partager les réseaux sociaux, là où avant je le voyais comme une autre tâche “indispensable donc je le fais mais clairement ça me saoule”. (rires)

Bon, clairement je pourrais parler de ce sujet pendant des heures, mais je pense que pour un épisode on est pas mal, on aura tout le temps de parler du pouvoir du branding en long, en large et en travers. D’ailleurs j’ai très envie d’inviter des entrepreneureuses pour qui le branding à vraiment aider à prendre confiance etc. et à combattre le syndrôme de l’imposture.Donc si tu te reconnais dans tout ça et que tu as envie de venir papoter avec moi ici, fais-moi signe ! Je t’autorise officiellement à “slider dans mes DMs” sur Insta ou à m’envoyer un email, tu trouveras l’adresse dans les notes de l’épisode.Laisse-moi juste le temps de trouver comment on enregistre et monte un podcast avec deux pistes audio et on est bon ! (rires)

Bon allez, c’est tout pour cet épisode, je te laisse savourer ton apéro et je te souhaite une belle semaine plein plein d’audace et de moxie !!

Outro

Si tu as écouté l’épisode jusque là, c’est que le sujet t’intéressait (clairement vu le nombre de digressions que j’ai faite !)Si tu veux me soutenir, aider à le podcast à prendre son envol, ou contribuer à propager le message que le branding c’est hyper important, c’est très simple et c’est gratuit.Vas sur ton application préférée et abonnes-toi au podcast. Si tu veux, tu peux aussi me laisser des ptites étoiles ou un commentaire, ça m’aidera beaucoup et ça me fera vraiment chaud au coeur ! À lundi prochain pour ta dose de moxie !

Crédits bande son :

Titre:  ResetAuteur: JaunterSource: https://jaunter.bandcamp.com
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/3.0/
Téléchargement (6MB): https://auboutdufil.com/?id=497